Les financements de l’État sont longtemps allés sur d’autres secteurs jugés plus prioritaires que le ferroviaire et les transports urbains. Un changement de regard est indispensable.
- Rappeler combien la filière est créatrice d’emplois, directs et indirects, diversifiés et tournés vers l’innovation.
- Traduire en financements concrets les engagements pris, et en faire un vrai enjeu de politique industrielle et commerciale, sur le plan national et en Europe.
- Défendre le ferroviaire au niveau européen, pour faire entendre sa voix sur l’ensemble des problématiques qui le concernent : service public/concurrence, data, environnement, mobilités…
- Capitaliser sur la coopération et le dialogue des acteurs dans un cadre concurrentiel clair (rôle central du régulateur).